TABAX_AK_NDAW_GNI: Pourquoi le choix du parrain ?

Adramé
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En montrant comment le projet #TABAX_AK_NDAW_GNI est
prometteur pour une jeunesse consciente, déterminer à la quête
d’un avenir meilleur. Le Cabinet ICB (Influence Coaching Business)
et le mouvement 2point Sn (Sunu Sénégal Niuni Neen) ont porté le
choix sur Le Président BOUBACAR CAMARA (Président du parti
PCS/JENGU-TABAX), qui est le parrain Officiel de l’édition 2022 de
la Journée internationale de jeunesse qui se tiendra au Maroc le 12
Aout 2022 à l’Hôtel Zenith de Casablanca. Monsieur Camara est
une figure méritante, emblématique et inspirante pour une jeunesse
Africaine et Sénégalaise assoiffée de repère, à travers des exploits
qu’il a eu à faire pour la jeunesse avec le mouvement Génération
Y qui ne cesse d’être entendu parler. La Génération Y a été mise
en place par Boubacar Camara essentiellement pour promouvoir la
jeunesse sénégalaise et Africaine dans son combat contre le
désespoir. C’est ce qui explique le choix porté sur sa personne car
le thème de cette année est en parfaite cohésion avec son projet
de bâtir le Sénégal AVEC la jeunesse.

QUI EST KAMÂH ?

‘’De la Gamelle aux Etoiles’’, voilà le titre qui pourrait
résumer parfaitement la vie professionnelle et
sociale de Kamâh. La gamelle est un récipient dans
lequel on sert la nourriture des soldats organisés
par petits groupes. Les étoiles symbolisent le
grade de ceux qui atteignent le plafond d’une
hiérarchie militaire, para militaire ou hors
cadre dans la haute administration publique.
Il s’appelle Boubacar CAMARA. On l’affuble de plusieurs
appellations : affectueusement Bouba, Camou ou Nafa.
Classe pour certains, Boubacar ou M. CAMARA, DG,
Camara, Maître mais aussi Docteur, si ce n’est Monsieur
l’Inspecteur, Chef Camou ou Caros, El Hadj, Lamine
ou Kolo TONGA, Président ou Prési pour la plupart.
Nous avons décidé de l’appeler KAMÂH.
Kamâh, diminutif de Kamara avec K. Oui, un K de
protestation contre le C qui se lit « thieu » au lieu de ‘’keu’’.

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L’accent circonflexe sur le second « a» est un chapeau, le couvre-
chef qui exprime l’élévation personnelle et l’ambition pour le
Sénégal et l’Afrique. Le H muet comme le silence et la discrétion,
rend compte du choix de tout préparer minutieusement pour
mettre toutes les chances de gagner de son côté.

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1.1. ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES

Kamâh est Inspecteur général d’État
en retraite anticipée de huit ans sur sa
demande. Ancien soldat de 2ème classe,
docteur en droit, avocat au barreau de
Paris, expert maritime. Kamâh a
occupé les fonctions de Directeur
général des Douanes et de Secrétaire
général du Ministère de la Coopération
internationale, des Transports aériens,
des Infrastructures et de l’Énergie.
Cette activité professionnelle au service
de l’État a été couronnée par la Médaille
d’Honneur de la Douane et l’élevation au
grade de Chevalier dans l’Ordre national
du Lion et Officier dans le même Ordre.
Dans le secteur privé, il a été Président
de Conseil d’administration et/ou
administrateur de plusieurs sociétés. A
présent, il est consultant international
en matière de douane,

en commerce international, en
partenariat public-privé et énergie.
A ce titre, il conseille des groupes
internationaux et des pays africains.
Consultant associé ou administrateur
dans des groupes privés au Sénégal
et à l’étranger, Kamâh fait la
promotion du financement innovant
du développement en Afrique, de
l’industrialisation et de la construction
de villes nouvelles intelligentes.
Très attaché à la formation,
KAMÂH est Président d’Institut
supérieur de Formation. Il est
aussi promoteur immobilier.
Ayant toujours comme objectif
d’exceller dans tout ce qu’il entame,
Kamâh n’a pas lésiné sur les moyens
pour se doter d’une solide formation
et d’un apprentissage très rigoureux.

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A
1.2 FORMATION
près l’obtention du baccalauréat série C
(Maths/Physique) au Lycée Blaise DIAGNE
en 1978, Kamâh choisit d’entrer à l’École
Nationale de Formation maritime d’où il sort en
1980 comme Lieutenant de Marine Marchande.
Pour rejoindre la Marine Nationale, Kamâh s’est
engagé volontairement dans l’armée comme soldat
et a reçu la Formation initiale du Combattant (FIC) à
Bango, Saint Louis (Classe 1981/2). Affecté à la
Marine, il suit une formation de manœuvrier et
s’occupe de la
correction des cartes marines et bien évidemment,
assure des factions de quatre heures dont le pesant
service de « 0 à 4h » à la porte de l’Arsenal de la Marine.
Kamâh est toujours proche de ses « Classes de guerre »
de 1981 dont il est président d’Honneur de l’Association.
L’École nationale des Douanes lui ouvre ses portes
en 1983 et il gravit brillamment les échelons (agent
breveté et contrôleur : major de promotion à l’entrée
comme à la sortie). Il entre à l’École nationale
d’Administration (ENA) de Dakar (Section inspecteur
des douanes : major de promotion à l’entrée comme
à la sortie) en 1994, Promotion Mantoulaye GUENE.
Après une maitrise en droit public Option Administration
publique, Kamâh est titulaire d’un Diplôme d’Études
Approfondies Générales (DEAG) et d’un Diplôme
d’Études Approfondies (DEAS-Enseignement) en
droit public à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar.
Kamâh a toujours combiné les études et l’activité
professionnelle. Il a également suivi plusieurs
formations en même temps : une formation à l’ENA, les
cours de DEA à l’université et le stage d’expert maritime
dans un cabinet d’expertise cargaison. A la fin de ces
formations, Kamâh avait plusieurs cordes à son arc et
pouvait choisir entre le noble métier d’enseignant à
l’université, ouvrir un cabinet d’expertise maritime et
poursuivre sa carrière en douane comme inspecteur.
Kamâh choisit alors de rester en douane avec l’objectif
de se présenter au concours professionnel pour
accéder au corps des Inspecteurs généraux d’État.

Il est admis major en février 2000. Directeur
général des douanes de 2000 à 2004, Kamâh
continue ses études et soutient sa thèse de
doctorat en droit portant sur « Le contentieux
douanier au Sénégal. Réflexions sur la place
du juge dans le traitement des infractions » à
l’Université Pierre Mendés France de Grenoble.
En mai 2005, il est élevé au grade de docteur.
Sa thèse est publiée en décembre de la même
année avec la mention « Très honorable et
Félicitations du jury ». Kamâh, l’insatiable
apprenant reprend ensuite ses études en
s’inscrivant à l’École de Formation
professionnelle des Barreaux (EFB- Bastille-
Paris) d’où il obtient le Certificat d’Aptitude à la
Profession d’Avocat (CAPA) en juillet 2008, Promotion Pierre MAZEAUD.

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